26 juillet 2007
29-04-2007
A force de passer toutes ces couches de peintures sur les murs on finira par réduire l'espace au point de devoir ramper pour rentrer, puis par s'étouffer à la dernière couche encore vivable.
Il n'y a presque rien a penser de ces lendemain de fête ou il ne se passe rien d´explosif ou d´un peu vrai, elles auraient pu être triste si l'amertume des gens était irrespirable mais tout semble être émotion de surface, alors on cherche des actions pures.
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